Ce qui suit, est une sorte de Préquelle non daté (pour des raisons qui ne seront pas nécessairement clairement expliqué ici) à laquelle les personnages cités pourront réagir MAIS ne pourront pas en prendre le contrôle. Vous pourrez préciser la nature de vos réactions, vos interrogations ou encore vos réflexions et sentiments au vu des situations décrites. Il ne s’agit pas là de moduler ou de prendre l’histoire en main, le récit se passe sans votre consentement, mais vous êtes cordialement invité à positionner votre vision du récit et vos priorités au travers de vos réactions.
La Nuit de la Saint-Barthélemy
Les ombres telles une valse macabre roulaient avec une déférence sinistre sur Le Marais alors que la ronde des Miliciens donnait, tel un fouet levant la pâte, du mouvement à l’épaisse mélasse humaine qui se pressait dans les rues. La Famine grondait dans les ventres comme dans les rues des Lambs à la manière d’une bête agonisante et puante. Sifflant sa grogne comme une sourde lamentation obsédante et aliénante. Le Marais était déjà un endroit nauséabond, mais depuis quelques semaines déjà il y régnait une odeur qu’il était difficile de caractériser. Pour Frederick Abberdine, c’était comme si la mort elle-même était allée rouler une pelle à chaque cadavre en décomposition au font du Marais et avais gracié d’un rot puant la misère de ces rues.
Mais pour LUI, qui observais immobile ces rues depuis des siècles déjà, c’était bien pire que ça.
Les Lambs étaient balayées par les vents et la pluie cette nuit-là, mais ça ne changeait rien, au contraire l’odeur semblais s’incruster encore plus profondément jusqu’à se graver dans la pierre de la Gargouille elle-même. Les feux luttaient contre le déluge au loin comme les torches des chasseurs de sorcières. Ici et là dans certains quartiers on avait monté des barricades, jeté des tables, des fauteuils, des livres à rue pour y mettre le feu. Les incendies soulevés par le vent tel des rafales ardentes propagèrent le cauchemar sur l’ensemble de la Cour des Miracles transformant la fosse des Lambs en un brasier ardent à ciel ouvert. Ici ou là, partout autour de lui il peut entendre les cris, les plaintes, les pleurs. Là-bas on appel à l’aide, ici on s’écroule au sol. Il ne peut rien faire, il est figé, incapable d’agir, prisonnier de son propre corps il ne peut qu’observer impuissant le monde qui suinte de sa gangrène. Il voie la misère qui remue dans tous les sens comme des vers sur un morceau de chaire pourris. La Milice urbaine cherche à maintenir l’ordre, mais le seuil à déjà été passé. Il le sait, d’ici, il a pu le voir, le sentir, le vivre ou plutôt le subir. La Milice lutte inefficacement contre une masse impossible à repousser, il est trop tard. Si seulement il avait pu leurs montrer les signes. Si seulement ils avaient voulu les voir.
Muré dans l’esclavage le plus atroce de tous, celui du Silence de la sa propre Solitude, le gardien de pierre du haut de son perchoir avais vu le monde se faire lentement engloutir, puis digérer avant de se faire déféquer à nouveau par la même embouchure anale qui l’avais en premier lieu phagocyté. Erodé par la résignation des siècles passés, les fissures dans les fondations provoquées par la dilatation des matériaux sous l’effet de la chaleur, n’avais même pas attiré son attention. La bâtisse plia une première foi et deux autres fois encore avant que les enluminures de pierre ne cèdent. La masse de roche alla s’enfoncer lourdement dans le sol pavé juste à quelques mètres d’une fillette âgée de douze ou treize ans à peine qui avais trébuchée sur les marches de la bâtisse. Clara O’Dea fixa un instant le monstre de pierre qui venait de lui sauver la vie. Les colombages enflammés du dernier étage s’étaient effondrés et la fillette aurait été broyée et engloutie par les flammes si la Gargouille n’avais pas encaissé et dévier les débris. Et sa main bougea.
La fillette sursautera peut-être, mais ne perdra pas son sang-froid. ‘’La petite main’’ attrapera d’un revers de bras le sac de babioles dérobés aux esclavagistes de la créature de pierre avant de disparaitre entre les débris.
La crasse flottait littéralement dans les airs et la misère coulaient le long des murs empreints d’une sueur froide. Le vieille homme crachat une lampé de vieux malt contre la maçonnerie de la boulangerie. Lui aussi ce n’étais pas la première fois qu’il assistait à ce spectacle et pourtant, il était incapable de se souvenir exactement des ‘’faits’’. L’homme fit un sourire forcé pour masquer ses craintes avant de venir lécher le papier de sa cigarette à rouler. Il enfourna à nouveau le paquet de tabac dans sa besace avant de gratter une allumette contre la paroi sur laquelle le reste de whisky s’enflamma presque instantanément. Douglas McFinley se gratta une couille en portant la cigarette à sa bouche mais alors qu’il allait faire une remarque philosophiquement poétique sur la situation avant de tirer sur sa clope, une gosse des rues mal fagoté le bouscula et la mèche roulée de tabac s’écrasa dans une flaque de pisse au sol. Foutu guigne ! McFinley n’eut pas le temps de se retourner que déjà la gamine avais disparue. Un instant il s’arrêta pour regarder le mégot flotter dans l'urine, puis il s’accroupit pour le ramasser en le secouant comme une queue bien mole avant de le ranger avec d’autres dans sa tabatière pour le laisser à sécher.
Le vieux schnok se relèvera après un instant en mettant la main à sa poche pour y chercher son tabac, sortira une petite feuille de papier qu’il roulera autour avec soin, avant de la lécher pour la refermer. A cour d’allumettes il embrase sa cigarette roulée sur les ruines fumantes du kiosque à journaux. Ce monde pue. Il a toujours pué – mais pas comme ça, ou plus comme ça – qu’est ce qui s’est passé. Ça doit remonter à cette nuit-là …
La Gargouille se relèvera, apparemment libre de ses mouvements. L’explication la plus tangible qui traversera son esprit encore embrumé sera que son nouveau patron en a décidé ainsi, mais la bâtisse est en flamme, les émeutes déchirent les rues et pas de bourgeois paniqué qui vient crier des ordres à sa bête. Il peut sentir un parfum flotter dans l’air, mais l’odorat n’est pas son point fort et rapidement c’est la mort qui flotte dans l’air, faisant même plier les odeurs de cendre. Pour la Gargouille, ignorant tous des raisons de son éveil et semblant curieusement libre de ses mouvements alors que ses entraves sont toujours présentes, tout comme le vieux Gravedigger tout ça remonte à quelques mois déjà.
La ville basse étranglée par le pouvoir corporatiste et tyrannique de Starrick Industries bouillonne d’une rage muette alors que les syndicats s’arrachent les derniers lambeaux de richesse qui subsistent encore dans les couloirs sinistres qui relie les rues de Cour des Miracles à celles des Halles. Les pauvres meurt de faim dans les rues, les cadavres s’entassent lentement et le fléau prolifère bientôt jusque sur la ville haute. La famine frappe jusque dans les plus hautes sphères du pouvoir, mais étrangement, cette misère ne sera que de courte durée pour ces élus de l’île de la cité. Là où d’un côté de la Tamise un peuple meurt de faim, de l’autre côté du fleuve, ils mangent de la viande, boivent du bon vin, festoie et gaspille à foison. La réaction ne se fera pas attendre et les émeutes commenceront. L’ampleur du régime de la Terreur mis en place par Starrick prendra un nouvel essor poussant les Dantonistes à s’unir aux révolutionnaires. L’église des trois Mondes elle, annonce la fin de ce monde et l’ascension du prochain alors que la chambre ecclésiastique souveraine du centre soutient le régime et appel a un retour au calme. En quelques jours à peines, la ville basse connaitra ses heures les plus sombres de son histoire, du moins de mémoire d’hommes.
Mais là où certains ne voient que les feux et les cris, certains autres, par-delà les cendres y voient un écho. C’est le cas notamment de la Gargouille et de Gravedigger qui se retrouveront entrainé dans le chaos des rues. Les deux protagonistes sont, en partie du moins, conscient du fait que la situation a dégénéré depuis un incident qui a eu lieu dans la zone des Slums. (Vous pouvez décrire la nature de vos investigations et vos priorités en la matière si tant est que la situation attire votre attention.
Note : la Gargouille sera en mesure de prendre une forme humanoïde si elle le souhaite)
Il y a quelques mois de cela un corps a été retrouvé le long du vieux canal qui passe au travers de la zone crapuleuse. On raconte que le corps était dans un état de décomposition excessivement avancé et qu’il était impossible pour la Milice de savoir d’où il pouvait provenir. L’affaire sera rapidement classée par la Police Secrète et la Milice quant à elle sera de toute manière sollicitée par d’autres faits étranges, une maladie d’un genre nouveau semble se rependre au travers de la ville basse comme une trainée de poudre. En quelques heures à peine après que soit diffusé le communiqué de la Milice, les Ponts de l’Île de la cité seront tous levé.
Ces évènements coïncides pour la Gargouille et Gravedigger avec un ‘’Bug’’ dans le Rêve. Les deux individus peuvent prétendre avoir eu une ‘’divergence’’ dans le Rêve. Les Divergences sont en général traquées par la Police Secrète ce qui souligne si cela devait encore être nécessaire le caractère étrange de la situation. McFinley et la Gargouille ont été dévié du Rêve commun explorant et interprétant chacun à leurs manière un Rêve qui leurs était propre et personnel. Pour le vieux chasseur les Anciens sont en cause et son fusil le démange alors que la Gargouille pense à d’autres secret enfouie sous les eaux saumâtres de la Tamise. (Observateur silencieux, la Gargouille à toutes les connaissances de ces évènements et le Vieux Schnok étant du genre à trainer toujours là où il ne faut pas, ces informations seront remonté jusqu’à lui. La Gargouille semble en partie guidé par celui ou celle qui l’a libéré de son entrave de pierre alors que le vieux chasseur dispose de dons et d’une maitrise lui permettant de voir les choses caché derrière le rideau de la réalité. L’un orienté et l’autre capable de la chose, seraient en mesure de prendre conscience du premier. C’est-à-dire que l’attention de la Gargouille sera attiré vers le vieille homme, le même clochard que la créature avais déjà vu passé mainte foi dans les rue, mais qui avais ce côté un peu étrange qu’il dissimule peut être moins maintenant. Pareille, le Vieux, captera rapidement la nature magique et la véritable nature de la Gargouille.)
Rapidement pour les deux protagonistes, la ville basse s’effondre autour d’eux et seul Starrick semble contempler le spectacle avec un calme malsain. Les rues sont le théâtre d’affrontement entre ‘’Crève la Faim’’ et la Milice Urbaine. Autour de la Gargouille comme pour le Vieille homme, les gens Meurs, de la Faim, de la Maladie ou dans les affrontements. Et plus la haine monte, plus l’odeur grandit, les gens s’effondrent sous la puanteur dans certains quartiers, les murs deviennent plus sombres, physiquement plus noir comme recouvert d’une sorte de graisse. Le vent fait grincer les murs de Yarnaham à la manière de la mâchoire d’une bête alors que les hommes d’Abberdine emballent un autre corps étrange rejeté par le canal…
La Nuit de la Saint-Barthélemy
Les ombres telles une valse macabre roulaient avec une déférence sinistre sur Le Marais alors que la ronde des Miliciens donnait, tel un fouet levant la pâte, du mouvement à l’épaisse mélasse humaine qui se pressait dans les rues. La Famine grondait dans les ventres comme dans les rues des Lambs à la manière d’une bête agonisante et puante. Sifflant sa grogne comme une sourde lamentation obsédante et aliénante. Le Marais était déjà un endroit nauséabond, mais depuis quelques semaines déjà il y régnait une odeur qu’il était difficile de caractériser. Pour Frederick Abberdine, c’était comme si la mort elle-même était allée rouler une pelle à chaque cadavre en décomposition au font du Marais et avais gracié d’un rot puant la misère de ces rues.
Mais pour LUI, qui observais immobile ces rues depuis des siècles déjà, c’était bien pire que ça.
Les Lambs étaient balayées par les vents et la pluie cette nuit-là, mais ça ne changeait rien, au contraire l’odeur semblais s’incruster encore plus profondément jusqu’à se graver dans la pierre de la Gargouille elle-même. Les feux luttaient contre le déluge au loin comme les torches des chasseurs de sorcières. Ici et là dans certains quartiers on avait monté des barricades, jeté des tables, des fauteuils, des livres à rue pour y mettre le feu. Les incendies soulevés par le vent tel des rafales ardentes propagèrent le cauchemar sur l’ensemble de la Cour des Miracles transformant la fosse des Lambs en un brasier ardent à ciel ouvert. Ici ou là, partout autour de lui il peut entendre les cris, les plaintes, les pleurs. Là-bas on appel à l’aide, ici on s’écroule au sol. Il ne peut rien faire, il est figé, incapable d’agir, prisonnier de son propre corps il ne peut qu’observer impuissant le monde qui suinte de sa gangrène. Il voie la misère qui remue dans tous les sens comme des vers sur un morceau de chaire pourris. La Milice urbaine cherche à maintenir l’ordre, mais le seuil à déjà été passé. Il le sait, d’ici, il a pu le voir, le sentir, le vivre ou plutôt le subir. La Milice lutte inefficacement contre une masse impossible à repousser, il est trop tard. Si seulement il avait pu leurs montrer les signes. Si seulement ils avaient voulu les voir.
Muré dans l’esclavage le plus atroce de tous, celui du Silence de la sa propre Solitude, le gardien de pierre du haut de son perchoir avais vu le monde se faire lentement engloutir, puis digérer avant de se faire déféquer à nouveau par la même embouchure anale qui l’avais en premier lieu phagocyté. Erodé par la résignation des siècles passés, les fissures dans les fondations provoquées par la dilatation des matériaux sous l’effet de la chaleur, n’avais même pas attiré son attention. La bâtisse plia une première foi et deux autres fois encore avant que les enluminures de pierre ne cèdent. La masse de roche alla s’enfoncer lourdement dans le sol pavé juste à quelques mètres d’une fillette âgée de douze ou treize ans à peine qui avais trébuchée sur les marches de la bâtisse. Clara O’Dea fixa un instant le monstre de pierre qui venait de lui sauver la vie. Les colombages enflammés du dernier étage s’étaient effondrés et la fillette aurait été broyée et engloutie par les flammes si la Gargouille n’avais pas encaissé et dévier les débris. Et sa main bougea.
La fillette sursautera peut-être, mais ne perdra pas son sang-froid. ‘’La petite main’’ attrapera d’un revers de bras le sac de babioles dérobés aux esclavagistes de la créature de pierre avant de disparaitre entre les débris.
La crasse flottait littéralement dans les airs et la misère coulaient le long des murs empreints d’une sueur froide. Le vieille homme crachat une lampé de vieux malt contre la maçonnerie de la boulangerie. Lui aussi ce n’étais pas la première fois qu’il assistait à ce spectacle et pourtant, il était incapable de se souvenir exactement des ‘’faits’’. L’homme fit un sourire forcé pour masquer ses craintes avant de venir lécher le papier de sa cigarette à rouler. Il enfourna à nouveau le paquet de tabac dans sa besace avant de gratter une allumette contre la paroi sur laquelle le reste de whisky s’enflamma presque instantanément. Douglas McFinley se gratta une couille en portant la cigarette à sa bouche mais alors qu’il allait faire une remarque philosophiquement poétique sur la situation avant de tirer sur sa clope, une gosse des rues mal fagoté le bouscula et la mèche roulée de tabac s’écrasa dans une flaque de pisse au sol. Foutu guigne ! McFinley n’eut pas le temps de se retourner que déjà la gamine avais disparue. Un instant il s’arrêta pour regarder le mégot flotter dans l'urine, puis il s’accroupit pour le ramasser en le secouant comme une queue bien mole avant de le ranger avec d’autres dans sa tabatière pour le laisser à sécher.
Le vieux schnok se relèvera après un instant en mettant la main à sa poche pour y chercher son tabac, sortira une petite feuille de papier qu’il roulera autour avec soin, avant de la lécher pour la refermer. A cour d’allumettes il embrase sa cigarette roulée sur les ruines fumantes du kiosque à journaux. Ce monde pue. Il a toujours pué – mais pas comme ça, ou plus comme ça – qu’est ce qui s’est passé. Ça doit remonter à cette nuit-là …
La Gargouille se relèvera, apparemment libre de ses mouvements. L’explication la plus tangible qui traversera son esprit encore embrumé sera que son nouveau patron en a décidé ainsi, mais la bâtisse est en flamme, les émeutes déchirent les rues et pas de bourgeois paniqué qui vient crier des ordres à sa bête. Il peut sentir un parfum flotter dans l’air, mais l’odorat n’est pas son point fort et rapidement c’est la mort qui flotte dans l’air, faisant même plier les odeurs de cendre. Pour la Gargouille, ignorant tous des raisons de son éveil et semblant curieusement libre de ses mouvements alors que ses entraves sont toujours présentes, tout comme le vieux Gravedigger tout ça remonte à quelques mois déjà.
La ville basse étranglée par le pouvoir corporatiste et tyrannique de Starrick Industries bouillonne d’une rage muette alors que les syndicats s’arrachent les derniers lambeaux de richesse qui subsistent encore dans les couloirs sinistres qui relie les rues de Cour des Miracles à celles des Halles. Les pauvres meurt de faim dans les rues, les cadavres s’entassent lentement et le fléau prolifère bientôt jusque sur la ville haute. La famine frappe jusque dans les plus hautes sphères du pouvoir, mais étrangement, cette misère ne sera que de courte durée pour ces élus de l’île de la cité. Là où d’un côté de la Tamise un peuple meurt de faim, de l’autre côté du fleuve, ils mangent de la viande, boivent du bon vin, festoie et gaspille à foison. La réaction ne se fera pas attendre et les émeutes commenceront. L’ampleur du régime de la Terreur mis en place par Starrick prendra un nouvel essor poussant les Dantonistes à s’unir aux révolutionnaires. L’église des trois Mondes elle, annonce la fin de ce monde et l’ascension du prochain alors que la chambre ecclésiastique souveraine du centre soutient le régime et appel a un retour au calme. En quelques jours à peines, la ville basse connaitra ses heures les plus sombres de son histoire, du moins de mémoire d’hommes.
Mais là où certains ne voient que les feux et les cris, certains autres, par-delà les cendres y voient un écho. C’est le cas notamment de la Gargouille et de Gravedigger qui se retrouveront entrainé dans le chaos des rues. Les deux protagonistes sont, en partie du moins, conscient du fait que la situation a dégénéré depuis un incident qui a eu lieu dans la zone des Slums. (Vous pouvez décrire la nature de vos investigations et vos priorités en la matière si tant est que la situation attire votre attention.
Note : la Gargouille sera en mesure de prendre une forme humanoïde si elle le souhaite)
Il y a quelques mois de cela un corps a été retrouvé le long du vieux canal qui passe au travers de la zone crapuleuse. On raconte que le corps était dans un état de décomposition excessivement avancé et qu’il était impossible pour la Milice de savoir d’où il pouvait provenir. L’affaire sera rapidement classée par la Police Secrète et la Milice quant à elle sera de toute manière sollicitée par d’autres faits étranges, une maladie d’un genre nouveau semble se rependre au travers de la ville basse comme une trainée de poudre. En quelques heures à peine après que soit diffusé le communiqué de la Milice, les Ponts de l’Île de la cité seront tous levé.
Ces évènements coïncides pour la Gargouille et Gravedigger avec un ‘’Bug’’ dans le Rêve. Les deux individus peuvent prétendre avoir eu une ‘’divergence’’ dans le Rêve. Les Divergences sont en général traquées par la Police Secrète ce qui souligne si cela devait encore être nécessaire le caractère étrange de la situation. McFinley et la Gargouille ont été dévié du Rêve commun explorant et interprétant chacun à leurs manière un Rêve qui leurs était propre et personnel. Pour le vieux chasseur les Anciens sont en cause et son fusil le démange alors que la Gargouille pense à d’autres secret enfouie sous les eaux saumâtres de la Tamise. (Observateur silencieux, la Gargouille à toutes les connaissances de ces évènements et le Vieux Schnok étant du genre à trainer toujours là où il ne faut pas, ces informations seront remonté jusqu’à lui. La Gargouille semble en partie guidé par celui ou celle qui l’a libéré de son entrave de pierre alors que le vieux chasseur dispose de dons et d’une maitrise lui permettant de voir les choses caché derrière le rideau de la réalité. L’un orienté et l’autre capable de la chose, seraient en mesure de prendre conscience du premier. C’est-à-dire que l’attention de la Gargouille sera attiré vers le vieille homme, le même clochard que la créature avais déjà vu passé mainte foi dans les rue, mais qui avais ce côté un peu étrange qu’il dissimule peut être moins maintenant. Pareille, le Vieux, captera rapidement la nature magique et la véritable nature de la Gargouille.)
Rapidement pour les deux protagonistes, la ville basse s’effondre autour d’eux et seul Starrick semble contempler le spectacle avec un calme malsain. Les rues sont le théâtre d’affrontement entre ‘’Crève la Faim’’ et la Milice Urbaine. Autour de la Gargouille comme pour le Vieille homme, les gens Meurs, de la Faim, de la Maladie ou dans les affrontements. Et plus la haine monte, plus l’odeur grandit, les gens s’effondrent sous la puanteur dans certains quartiers, les murs deviennent plus sombres, physiquement plus noir comme recouvert d’une sorte de graisse. Le vent fait grincer les murs de Yarnaham à la manière de la mâchoire d’une bête alors que les hommes d’Abberdine emballent un autre corps étrange rejeté par le canal…